Nos souvenirs, chaque parcelle de notre mémoire forme notre histoire et c'est ce qui nous à donné notre caractère, notre physique et tout ce que nous sommes, nous sommes formés pour notre vécu. Chaque moment qu'il soit heureux ou non à marquer notre vie a jamais, chaque épreuve nous a rendu plus fort et chaque peurs nous as rendu méfiants. Nous avons été créer par notre histoires. Et voilà ce qui a créer Alix Chase.

La naissance est quelques chose de merveilleuse, d'aimante, d'attendu et si tout cela n'était qu'un mythe ? Douleur, cri, pleure, tout cela marque notre premier jours dans la vie, a peine né on fait déjà souffrir une personne qui plus tard nous sera cher, cela en dit bien long sur nous les être vivant qui ne faisons que nous faire souffrir à longueur de temps. Enfin après un moment de souffrance la joie est là, enfin en général, lorsque l'enfant n'est pas désiré, lorsque sa mère ne supporte plus de regarder son visage se rappelant le mal que lui as donner son père ? Est ce qu'un enfant naissant dans ses conditions devrait survivre ? Ou plutôt accepter de vivre ? Alix ne se souviens pas du jour de sa naissance, comme la plupart des enfants et heureusement pour elle, si elle avait su que sa mère avait refusé de la voir, de la prendre ou même de la nourrir, le jour même de sa naissance elle n'en aurait que plus souffert. Seul Maël, garçon de 8 ans plutôt fort, mais trop jeune pour comprendre le mal-être qui toucher sa propre génitrice avait su s'occuper correctement de ce nouveau né, décidant qu'il le protégerait au péril de sa vie.

Malgré le peu d'amour donné par sa mère, Alix a vite comprit a quoi cela était dû, sa mère, jeune adultes plutôt naïve s'était laissé éprendre d'un des majordome de son père fortuné. Quel ne fut pas la surprise et la déception de celle-ci lorsqu'elle comprit que celui-ci ne la voulait que pour son héritage ? La femme avec déjà un enfant a charge et un deuxième en route a plongé dans les méandres de la dépression, abandonnant tout signe d'affection pour ses enfants et se laissant peu à peu tombé malade, refusant même de voir leur visage, ceux-ci lui rappelant bien trop celui de son ancien mari. Mais la descente en enfer continua, bientôt elle ne mangea plus, elle se laissait mourir de faim sans quitter son lit, perdant peu à peu la raison et la vie jusqu'à ne plus jamais se réveiller. La vie ne lui ayant offert que souffrances la femme avait enfin trouver un repos paisible laissant derrière elle un fils ravagé par la solitude et la douleur et une fille encore ignorante de la mort elle-même.

Malgré le manque de parents Alix ne manqua pas d'amour, vivant chez un oncle aimant avec un grand-frère poule, elle ne put même pas passer cinq minute de son enfance sans être câliner et choyer, elle passa les 15 première de sa vie dans une parfaite vie de petite fille, se faisant réprimander par son frère lorsqu'elle dépasser le couvre feux, l'ignorant en écoutant de la musique a fond, le torturant avec sa voix de casserole, la belle vie, sauf si on compte le peu d’intéressement qu'elle apporte à l'amour, mais ça c'est plutôt banal pour une fille de son age.

Ce fut dans le courant de l'été de ses 15ans que tout commença, d’abord les bruits faible, comme les piaillements des oiseaux, puis le son de la télé qu'elle doit augmenter de plus en plus, sa musique qui semble plus faible qu'avant, son audition s'amenuiser petit à petit, elle ne s'en inquiéta pas plus que ça, mais lors de l'annonce du médecin, une surdité juvénile ? Toute sa vie aller être chambouler pour une maladie ? Bientôt elle hais tout ce qui pouvait produire du son, détruisait avec colère télé, mp4, casque audio, radio et autres qui la rendait complexé de ne pouvoir les entendre, elle ne parlait plus, n'écoutait plus parler, elle voulait juste disparaître comme l'erreur de la nature qu'elle était et qu'importe ce que disait son frère rien ne lui remontait le moral. Elle sombra ce qui le rendais malade lui aussi, il avait simplement l'impression nostalgique de ses 8ans, lorsque sa mère s'enferma pour ne plus jamais ressortir sauf dans un sac un plastique opaque. Il refusa tout simplement de la laissé finir ainsi et se décida enfin à la réveiller. C'était une nuit pourtant banal, mais il entra lentement dans la chambre, s'assit sur le lit où sa soeur refusait de se tourner vers lui. Il lui attrapa les épaules violemment pour la tourner face à lui la forçant a le regarder ne face pour qu'elle l'écoute sans faire mine de ne rien entendre sachant très bien qu'elle savait lire sur les lèvres.

« Alix ! Tu ne vas pas continué comme ça, oui tu es sourde, mais je te croyais plus forte que ça. Je pensais que tu valais mieux que les autres quand il apprenne ce genre de nouvelle, tu as tout surmonter jusqu'à maintenant, je ne t'ai même pas vu pleurer pour l’enterrement de notre mère, c'est même toi qui m'a consolé du haut de tes 4ans. Alors ça suffit je ne supporte pas de te voir comme ça ! »

Cette phrase fut le déclenchement d'une force chez la demoiselle, elle ne put répondre à la déclaration de son frère, mais pour la première fois de sa vie, elle laissa des larmes quittait ses prunelles pour montrer sa souffrance ouvertement et non la caché. Cette nuit elle pleura et parla avec son frère, non pas de sa maladie, mais de tout et de rien, pour ne serait-ce que l'oublier quelques temps. Ce ne fut que le lendemain qu'elle s'acheta un casque, un ipod pour de nouveau écouter cette musique qu'elle aimer temps et qu'importe si elle pouvait l'entendre ou non. Elle remonta la pente avec l'aide de son frère, elle oublia sa maladie pourtant toujours présente et en fit une force pour énerver les gens, ce qu'elle aimait le plus faire dans sa vie et maintenant elle ne vit pas plus différemment qu'une autre personne.